Faillet. X, 338 : directeur des contributions directes, XI, 396 ; XII, 254.
Faillites. Projet de réforme de la loi en 1848, IX, 346 ; X, 60.
Faillot. tourneur, un des Soixante, X, 225.
Failly (de). « Les chassepots ont fait merveille », X, 280.
Fain (Baron), V, 116.
Faipoult. ministre des finances, V, 282 ; 294 ; 299 ; remplacé, 300, 402.
Faivre, agent provocateur de 1834, VIII, 277.
Falaise (V.), I, 751.
Fallières, XII, 258 ; 282.
Falloux (de). Élu en 1846, VIII, 556 ; IX, 6 ; 18 ; 29 ; 49 ; 68 ; son caractère 1868 ; son projet de décret le 29 mai sur les Ateliers nationaux, 70 et sq ; la commission spéciale. 73 et sq ; son rapport au nom de la commission spéciale déchaîne la guerre civile, 75 ; son rôle pendant les journée de juin, 78 et sq ; 87 ; se vante de ce rôle, 90 ; io5 ; 122 ; ministre de Louis-Napoléon, 128 ; 136 ; 144 ; sa démission, 147 : 155 ; 15g et sq ; il retire le projet déposé par Carnot, sur l’enseignement, 175 ; la loi Falloux, 177 et sq ; il est combattu en 1850 par les catholiques intransigeants qui trouvent sa loi insuffisante, 185 ; 190 ; 192 et sq ; 202 ; 216 ; 221 ; 224 ; 226 ; 233 ; 289 ; 310 ; 377 ; son opposition à l’Empire, X, 52 ; sa politique extérieure, 76 ; son opposition en 1859, 122 ; 123 ; XII, 55.
Faltot, XI, 275.
Famille. Comment le parti de l’Ordre prétend la défendre, en 1848, IX, 25.
Familles (Les). Sociétés secrètes de Blanqui et Barbés, VIII, 286.
Faujot, IX, 47.
Faraday. Ses découvertes, VIII, 522.
Farcy (E.), XI, 290 ; 417.
La Farina, X, 115.
Farjanel, révolutionnaire du Tarn. IV, 1272.
Faron (Général). Son rôle au 18 mars, XI, 278 ; 426.
Farre (Général), ministre de la guerre, XII, 227.
Faubourg du Nord (Section du), IV, 1387.
Faubourg Montmartre (Section du), IV, 1333 ; : 336 ; 1387.
Faucher (Léon), IX, 43 ; 72 ; 89, 07 ; 127 ; ministre de Louis-Napoléon, 128 et sq : son caractère, 140 ; son œuvre de répression en 1849, 140 ; 148 ; 196 ; 200 ; 215 ; il travaille pour l’Empire sans le savoir, 217 ; 224 ; 246 ; 271 ; 289 ; 295 ; 310 ; 346 ; 358 ; 366 : X, 9.
Fauchet (Abbé). Ne conçoit les ateliers de charité que comme une institution charitable, I, 119 ; il n’y voit en aucune manière un commencement d’organisation du travail, 141 ; il note le transfert de la propriété des nobles aux bourgeois, 179 ; 540 ; dénoncé par les sections de Paris, IV, 1199 ; 1442 ; sa mort, 1682.
Faure, député à la Convention, III, 111.
Faure (Félix), XII, 239 : président de la République, 26b ; sa médiocrité, 266 ; son voyage en Russie, 266 ; sa mort, 268.
Faure (Firmin). Son interpellation au général André, XII, 299.
Favart (institution), foyer de propagande républicaine, X, 89.
Favelier, X, 234.
Favre (François), maire du XVII", XI, 305.
Favre (Jules), VII, 32 (note) ; républicain lyonnais ; plaide pour les mutuellistes en avril 1834, VIII, 26g ; le procès d’avril, 275 et sq ; 350 ; son intervention dans la discussion de la loi sur la presse, IX, 55 et sq ; les bases de la société, 95 ; 130 ; son attitude dans l’affaire de l’expédition romaine, 146 ; 148 ; 154 ; 187 ; 197 ; sa déclaration de 1850 sur le socialisme, 210 ; 346 ; son rôle dans les journées du coup d’État, X, 8 et sq ; 86 ; 99 ; le procès d’Orsini, 113 ; élu en 1858, 115 ; son discours sur l’Italie le 30 avril 1859, 118 ; son activité au Corps Législatif, de 1859 à 1863, 146 ; élu en 1863, 158 ; le droit de grève, 235 ; 264 ; 260 ; au fond, il est peu différent comme esprit, de Thiers ou d’Ollivier, 283 ; ses rapports avec les Internationaux en 1857, 316 ; 326 ; 343 ; élu à Paris en 1869, 346 ; 374 ; 388 ; XI, 15 ; sa protestation contre l’annexion de la Belgique, 36 ; sa politique en face du mouvement d’unité allemande, 107 et sq ; il a peur de l’unité allemande sous l’hégémonie de la Prusse, 111 ; et il aboutit à une politique confuse et contradictoire, 112 ; après Sadowa il montre que la vraie garantie que la France peut donner à l’Allemagne c’est un régime de liberté, 115 : il juge enfin plus sainement les choses, 116 ; et, sous le couvert de la Providence, accepte, cette fois sans récriminations, l’unité allemande, 119 : son discours du 8 juillet 1868, 119 et sq ; c’est le manifeste définitif du parti républicain sur les choses d’Allemagne, 124 ; il dégage la responsabilité des démocrates français dans les événements de 1870, 126 ; Jules Favre en effet parlait au nom de toute la Gauche, 126 : ; 193 ; son intervention à la Chambre, le 14 juillet 1870, 226 ; 251 ; 257 ; 260 ; son élection à Paris en 1871, 264 ; son arrogance envers les maires de Paris, 286 : 366 ; sa circulaire du 26 mai 1871, un monument d’infamie, 487 ; XII, 55 ; 63 ; 156 ; 176.
