Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/81

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161 ; 168 ; 176 ; sa campagne électorale de 1875, 182 ; son parti dans la Chambre, 195 ; il se sépare de Gambetta, 198 ; 215 ; son influence croissante, 220 ; 222 ; ministre de l’Instruction publique, 224 ; 227 ; son ministère, 228 ; son programme 230 ; son tempérament, 232 ; il décide les élections pour le mois d’août 1881, 238 ; sa chute sur la question tunisienne, 239 ; 240 ; il reprend le pouvoir en 1883, 241 ; son programme n’était autre que celui de Gambetta, 242 ; sa chute, 242 ; sa mise en accusation est repoussée, 244 ; son retour offensif à la Chambre sur la politique coloniale, 244 ; agitation contre sa candidature à la présidence de la République.

Fersen (Comte de). Espère que le départ des nobles affamera le peuple de Paris, I, 131 ; note que le peuple ne veut pas demeurer dans les ateliers, 132 ; son caractère, l’amour de la reine pour lui, 661 ; sa correspondance, 661 et sq : 684, 688, 691, son rôle dans la fuite du roi, 699 et sq ; ses lettres confirment les récits de Marat, 703 ; 694 ; il propose au roi de donner pleins pouvoirs à ses frères ; 744 ; 746 ; 748 ; II, 802 ; 805 ; 806 ; 807 ; son idée de Congrès, 808 ; 827 ; 828 ; 831 ; 898 ; 919 ; appelé par la reine à Paris en février 1792, 920 ; son action près de Louis XVI, 922 ; il repart pour Bruxelles, 923 ; 940 ; 1185 ; 1188 ; 1214, 1215. 1216 ; 1230 ; 1238 ; 1240 ; 1282 et sq ; III, 46, 47 ; 164 ; 182. 183, 184 ; il sent le fond défiant de la Belgique contre la Révolution, 192 ; IV, 1084 ; son plan de régence pour Marie-Antoinette en mai 1793, 1190 et sq.

Fervel. V, 54.

Fesch (Cardinal). Son rôle lors du second mariage de Napoléon, VI, 377.

Fêtes. Sous le Second Empire, X, ; 3.

Fêtes nationales, instituées par le Directoire, V, 212 ; arrêté des Consuls à leur sujet, VI, 47.

Fêtes révolutionnaires. Elles ne sont pas un pastiche des fêtes romaines ; leur grandeur humaine, IV, 1640. Fête-Dieu. En 1793, IV, 1426.

Feuchères (Baronne de), VIII, 46.

Feuillants. Comment ils font le jeu des Girondins dans la question de la guerre, II, 859 : leur accord fondamental avec Léopold, 932 ; leur ruine définitive, 941 ; incertitude de leur politique depuis l’avènement de la Législative : tantôt ils arrêtent, tantôt ils poussent à la guerre ; leur politique intérieure, lente et molle, 942 ; ils ne voient dans le mouvement révolutionnaire qu’une agitation de club, 943 : malgré leur force numérique ils sont en mars 92 sans puissance réelle, 943 ; leur retour offensif après la chute des ministres girondins, 1197.

Feuille du cultivateur (La), journal, V, 272 et sq.

Février 1848. Journées révolutionnaires, VIII ; 568 et sq.

Fichte. Disciple de Kant ; il comprend que pour détendre la liberté il faut lutter avec la Révolution, III, 611 ; son premier manifeste politique, 611 et sq ; sa Rectification des jugements du public sur la Révolution française, 614 et sq ; il fait appel aux consciences éduquées et aux princes réformateurs mais va droit au problème, dénonce le régime féodal et clérical, 615 ; ses conceptions sur l’esclavage, le servage, la propriété, 616 et sq ; comment il pressent, sans l’indiquer nettement, le développement de la force du travail en face de la propriété, 620 ; analogie de ses idées avec celles de Saint-Just, 622 ; l’idée que toutes les institutions économiques sont un contrat de travail est chez lui plus poussé que chez les révolutionnaires français, 623 ; par lui, la société allemande se rattache à la Révolution française. 624 ; sa critique des privilèges, 626 et sq ; comment il atténue les mesures révolutionnaires en ce qui concerne les expropriations féodales, 631 ; mais il va jusqu’au bout en ce qui concerne les biens d’Église, 634 et sq ; comparaison dé sa doctrine sur ce sujet avec celle des révolutionnaires, 636 ; recteur de l’Université de Berlin, VI, 416 ; 494.

Fieschi, VIII, 28 ; son attentat, 278 et sq.

Figaro (Le), VIII, 201.

Figaro (Le), journal, XI, 291 ; réclame du sang, 470 ; 479 ; 482.

Figeac (V), IV, 1274.

Filatures. Leur développement de 1794 à 1800, V, 244 et sq ; leur situation de 1800 à 1807, VI, 284 et sq ; 555.

Fileurs. Leur coopérative de 1848, IX, 276.

Filhol, insurgé lyonnais, VIII, 159.

Filles Saint-Thomas (Section des), II, 1278.

Fillion. révolutionnaire lyonnais, IV, 1058.

Finance (Isidore), positiviste ; son rôle en 1878, XII, 218 ; 227.

Finances. La situation en 1792, II, 1018 et sq ; III, 254 ; mesures tâtonnantes de la Convention en 1795, V, 81 et sq ; leur état de 1794 à 1800, 150 et sq ; le manque de numéraire sous le Directoire, 232 ; leur état, d’avril 1796 à mai 1797, 358 et sq ; à la fin de 1797, 427 et sq ; dispositions prises après le 30 prairial, 534 : les difficultés en 1816, VII, 105 ; sous la République de 1848 ; le trésor est mal en point au moment de la Révolution, IX, 366 ; les dettes de l’Empire et les inquiétudes de Fould en 1861, X, 144 ; la lettre du 14 novembre 1861, 145 ; les finances de la Commune, XI, 400 et