Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/83

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Forge (A. de la), XII, 247.

Forgerons, VIII, 228.

Forney, disciple de Buchez, X, 327.

Forster (George). Montre les entraves que met à la production le régime corporatif et célèbre la libre industrie, III, 463 et sq ; 468 ; sentiments que lui inspirent les échecs de Joseph II, 482 ; son passé et son caractère, 571 et sq ; ses voyages lui font paraître plus pesante la médiocrité allemande, 373 ; son état d’esprit au moment où éclata la Révolution : d’instinct il est pour elle, mais il surveille son instinct, 577 et sq ; l’industrie est pour lui la réalisation de la liberté, 581 ; il salue la Révolution comme l’expansion des forces captives, 582 ; ses voyages en Angleterre, en France, en 1790, 584 ; sa confiance tranquille en la Révolution, 585 ; l’arrivée des émigrés et et la vie nouvelle dans l’électorat de Mayence, 586 ; il prend parti pour les Jacobins. 588 ; la Société des Amis du Peuple. 591 ; les forces d’organisation manquent, 592 et sq ; il voit qu’il n’y a pas d’autre moyen de salut que l’annexion, 593 ; sa politique en apparence compliquée procède de l’impuissance révolutionnaire de l’Allemagne, 595 ; les républicains de Mayence, 596 et sq ; son action, son discours pour l’incorporation à la France, 599 et sq ; problèmes qu’il soulève pour la conscience allemande, 606 ; fausseté de sa position, 607 ; la résistance grandit en Allemagne, 608 ; vote de l’acceptation de la Constitution française et élection à la Convention rhénane, 608 ; il répudie le communisme mais combat la propriété qui veut être indiscutable, 647, il lit Godwin, 647 ; 742.

Forneron, V, 104 et sq ; 368.

Fortifications de Paris. Le débat sur leur construction en 1833, VIII, 240 ; le débat de 1841, 418.

Fortoul, ministre de l’Instruction publique, ses réformes, X, 49.

Fortuné (Henry), élu à la Commune, XI, 308 ; 430.

Fosses (V.). La terre crie dans son cahier, sa souffrance et sa colère, I, 227.

Foucart et Finot, V, 339.

Foucauld (de). Expulse Manuel, VII, 190.

Fouché, IV, 1154 ; sa politique dans le Centre contre Lyon, 1702 ; son annonce de « la Révolution intégrale », 1702 ; sa politique sociale inspirée par le soulèvement des forces révolutionnaires, 1703 ; son arrêté sur le culte à Nevers, 1710 ; 1812 ; attaqué par Robespierre, il lie les fils de la conspiration contre lui, 1815 ; son rôle au 9 thermidor, 1817 et sq ; ses relations avec Babeuf, V, 74 ; 282 ; il veut gagner Babeuf au Directoire, 288 ; 290 ; son rôle dans la Cisalpine en 1798, 492 ; 559 ; 568 ; comment il mène l’opinion au lendemain du Coup d’État, VI, 18 ; ministre de la police sous le Consulat provisoire, 20 ; 49 ; 67 ; son rôle près du premier consul, sa police, 144 et sq ; son rôle après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 152 ; son rapport contre les Jacobins, 152 ; 162 ; ses relations avec Bernadotte. 166 ; son rôle dans l’établissement du Consulat à vie, 167 ; on lui enlève la police ; il devient sénateur, 182 ; son rôle dans l’établissement de l’Empire, 193 ; sa révocation. 463 ; ses intrigues en 1815, VII, 63 ; chef du gouvernement provisoire en 1815, 71 ; son intrigue orléaniste, 71 ; il se retourne vers Louis XVIII, 71 ; sa chute ; ambassadeur à Dresde, 80.

Fouchécourt (comte de), IX, 83.

Foucher (frères), exécutés à Bordeaux, VII, 84.

Fould (Achille), ministre de Louis Napoléon en 1849, IX, 158 ; 187 ; 368 : sa démission de janvier 1852, X, 34 ; ancien Guizotin, 54 ; 144 ; sa lettre à l’Empereur sur les finances, 145 ; il devient ministre, 145 ; 252.

Foullon, complice de la cour, mis à mort, I, 266.

Foulois, membre du comité de salut public de Nantes, I, 416.

Fouquier-Tinville, IV. 1136 ; 1699 : 1814 ; V, 26 ; 35, son procès, 89.

Fourcart, ami de Bernadotte, VI, 166.

Fourcroy, III. 212 ; V, 163 : 183 ; 203 ; ses travaux, 215 ; 239 ; 246 : conseiller d’État, VI, 49 ; 512.

Foureau. Son exploration, XII, 278.

Foureau, X, 354.

Fourichon. ministre de la Marine, XII, 195.

Fourier. Un germe de ses idées dans Lange, III, 328 et sq ; IV, 1659 ; VIII, 55 ; ses attaques injustes contre les Saint-Simoniens, 201 ; 241 ; ses idées sur le sucre de betterave, 30o ; il naît à Besançon en 1772, 304 ; sa haine du commerce. 305 ; ses Essais de jeunesse, 305 ; il fait appel à Bonaparte, 306 ; sa Théorie des Quatre Mouvements en 1808, 306 : précurseur de l’anarchisme, 307 ; sa conception de la famille et de l’éducation, 308 ; comment l’homme est conduit à l’association : les passions, 31 o ; la Phalange, 310 : son peu de confiance dans les chemins de fer, 311 ; sa faculté d’invention, 312 ; ses vues sur l’agriculture et l’organisation du travail agricole, 312 et sq ; il fait appel à tous les partis pour fonder le Phalanstère ; ce qu’il faut penser de son prophétisme et de son orgueil, 315 ; ses erreurs, 316 ; il est révolutionnaire el antisémite par haine du commerce, 318 ; il prévoit la concentra-