Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/90

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1792, 99 ; leurs ambitions vaniteuses et leurs desseins contre Paris lors de la réunion de la Convention, 122 ; leur plan : faire retomber les massacres de septembre sur la Commune, 122 ; leur lutte contre Marat commence, 124 ; leur tactique avant la réunion même de la Convention, 125 et sq ; ils peuvent accuser leurs adversaires de prêcher la loi agraire, 131 ; leur situation très forte au début de la Convention, 368 ; mais ils veulent écraser leurs rivaux, 372 ; leur hallucination du poignard, 377 ; ils accusent de dictature les démocrates, 378 et sq ; étourderie de cette accusation qui ne peut que les perdre, 383 ; comment ils perdent leur crédit auprès des députés sans parti-pris, 386 ; leurs relations avec les Jacobins, 387 ; ils tournent contre eux tous les démocrates, sur la question de la garde départementale, 388 et sq ; ils font un nouvel effort pour écraser Marat et Robespierre, 410 et sq ; leur défaite : la Convention refuse d’entendre la réplique de Louvet à Robespierre, 429 ; l’isolement grandit autour d’eux, 434 et sq : ils sont perdus d’avance, au début de 1793, 440 ; sympathiques aux Allemands révolutionnaires, 554.

Ils hésitent à porter le coup décisif contre le roi ; leur état d’esprit, IV, 863 ; ils multiplient les manœuvres d’ajournement, 864 et sq ; leur manœuvre pour atteindre Danton, Robespierre, Marat comme royalistes, 867 : pourquoi malgré leur souci du régime représentatif, ils demandèrent l’appel au peuple, 892 et sq : fausseté de leur argument de péril extérieur, 894 ; leurs désaccords entre eux sur la portée et le caractère de cet appel, 900 ; ils sont moins préoccupés au fond de la sentence finale que des moyens par lesquels elle sera obtenue, afin d’accabler les Montagnards, 906 ; pourquoi ils inclinent à la pitié envers le roi, 956 ; ils tentent de profiter du mouvement contre la propriété en février I793, 1073 ; ils perdent pied en mars, lors des premiers revers de Belgique, 1090 ; ils laissent échapper l’occasion de rentrer dans la Révolution, 1134 ; leur attitude dans la question du tribunal révolutionnaire, 1135 ; leur calcul en faisant envoyer des commissaires Montagnards, 1137 ; peu ardents contre les Vendéens, 1161 ; leur idée de la triple conspiration et qu’il faut se tourner d’abord contre les « anarchistes », 1163 et sq ; mouvement contre eux après la trahison de Dumouriez, 1171 : ils essaient de marquer leur puissance à la Convention par les présidents, 1193 ; ils tentent de porter la guerre dans les sections mêmes, 1206 ; ils font appel aux classes moyennes, à la bourgeoisie, 1207 ; déclamateurs mais courageux en face du danger croissant, 1267 ; leur confiance agressive au milieu de mai, 1269 ; leur plan contre les Montagnards, 1298 : ils déchaînent contre eux les colères à la Convention, le 25 mai, iÎ37 et sq ; incertains et divisés, 1344 ; ils font, les premiers, appel à la force armée, 1346 ; voient le péril prendre corps, 1392 et sq ; leur réunion du 1er juin chez Meillac, 1439 : Cf. journée du 8 juin ; pourquoi ils furent vaincus et éliminés, 1447 et sq ; leur lutte contre les Montagnards fut une lutte de parti et non une lutte de classes, 1458 ; c’est dans l’ambition et l’orgueil de la Gironde qu’il faut chercher les raisons de sa perte, 1459 ; rapport de Saint-Just sur ceux d’entre eux qui ont été arrêtés, 1626 et sq ; impuissance des fugitifs dans les départements, 1630 et sq ; ils sont tués par Charlotte Corday, 1633 ; les soixante-treize sauvés par Robespierre, 1696 ; les soixant-treize réintégrés à la Convention, V, 40 et sq ; comment ils amplifient le mouvement de réaction, 42.

Gisors. architecte, V, 224.

Gisquet, commis de la banque Périer dans les affaires louches, préfet de po- lice, VIII, 118 ; accusé de concussion, 399.

Givet (V.), 1, 709.

Glais-Rizoin, IX, 266 : élu en 1863, X. 159 ; 286 ; 324 : 362.

Gladstone. Sa réponse au Gouvernement de Thiers après la Commune, XI, 487.

Glanage (Droit de). Conflit à son sujet entre les paysans et les bourgeois propriétaires, et même entre les paysans, I, 186 et sq.

Glaneuse (la), journal républicain lyonnais, VIII, 263.

Globe (Le), VIII, 10 ; i3 ; 18 ; 19 : 36 ; 49 ; sa fiction d’un discours du trône saint-Simonien, 122 ; 166 ; 178 ; devient saint-Simonien, 191 ; 195 ; 201 ; 202 ; 206.

Gnocchi-Viani, XII, 208.

Gobel, évèque de Lydda, prête serment, I, 639 ; évèque de Paris, ses instructions sur l’état-civil, 111, 228 ; il vient abjurer ses fonctions à la Convention, IV, 1709 ; sa mort, 1799.

Gobelins (Manufacture des). Salaires en 1792, III, 283 : sa situation en 1806, VI, 296 ; 509.

Gobelins (Section des), II, 997, pétitionne à la Législative sur l’affaire du sucre, 997 et sq ; son rôle au 20 juin 1792, 1207 et sq ; 1268.

Gobert, commissaire de section, II, 1277.

Goblet, XII, 236 ; 242 ; président du Conseil, 249 ; chute de son ministère, 249.

Godin, disciple de Fourier, VIII, 320, 321 ; IX, 230.