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M. PLUSCH TROUVE UN ADVERSAIRE

VII

Où l’on voit M. Plusch trouver, bien malgré lui,
un adversaire de sa pointure.


M. Plusch répétait souvent :

— Il y a deux façons de faire la noce : pour s’amuser ou pour le principe.

Après avoir, durant tant d’années, pratiqué la première manière, il expérimentait de plus en plus la seconde.

Bien qu’Échalote fût pour lui une distraction de tout premier ordre, il n’était pas homme à se contenter d’une maîtresse mariée alors que les journées sont longues et que les femmes adultères ont des devoirs. Et encore, s’il n’y avait eu que les seules journées qui, pour un véritable Montmartrois, se réduisent aux après-midi ! Mais il y avait les soirées, ces diablesses de soirées durant lesquelles