Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 14.djvu/350

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— Son Essai sur les Comètes, XIV, 33, 113.
– Son Ouvrage sur l’Anneau de Saturne, XIV,43.
— Éloge de ses Travaux, 63, 71, 80, 127.
– XIV, 60, 98, 99, 105, 110, 116, 123, 127, 131.
Diophante (Problèmes de), XIII, 121, 128, 130, 191.
– XIV, 219, 220.
Dubrunfaut, cité, XIV, 284, note 1, 289.
Duclos, remplacé par d’Alembert comme Secrétaire perpétuel de l’Académie française, XIII, 237.
Duprat, libraire, XIV, 295.
Durade, directeur de la poste aux lettres pour le roi de Sardaigne à Genève, XIV, 159.
Dunand, libraire à Paris, XIII, 206, zII.
Durand neveu, libraire à Paris, XIV, 33.
Durand, banquier, XIV, 139, 146.
Du Séjour, voir Dionis.
Dutens (Louis), éditeur des OEuvres de Leibnitz, XIII, 31, 43, 46, 48, 86, 92, 93, 197, 199.
– Son Tocsin, 213, 216.
École militaire de Paris, XIV, 65.
Enciclopediana italiana, citée, XIV, 264.
Encyclopédie (de d’Alembert), XIII, 144.
– XIV, 274.
– (Articles de Condorcet dans le Supplément de l’), XIV, 3.
Éphimérides allemandes, citées, XIV, 108.
Euler (Léonard), sa Correspondance avec Lagrange, XIV, 135-245 (voir les Sommaires).
– D’Alembert le voit à Berlin, XIII, 9.
– Quitte Berlin pour Saint-Pétersbourg, XIII, 53, 55, 58, 61, 69.
– Engage Lagrange à venir l’y rejoindre, XIV, 208, 209.
– Devient aveugle, XIII, 130 ; XIV, 4.
– Ses Lettres à une princesse d’Allemagne, 132, 135, 143, 145, 147, 151.
– Ses trois fils, 15t, note 1.
– Sa Lettre à l’Académie des Sciences, 134.
– Ses Institutiones Calculi integralis, 136, 137, 143, 152, 153, 195, 198, 225, 229 ; XIV, 163, 210.
– Sa Théorie de la Lune, XIII, 151, 158.
– Prix qu’il remporte à l’Académie des Sciences pour un Mémoire sur la Lune ; 171, note ; 172, 173.
– Analyse de ce Mémoire par d’Alembert,
175 et suiv., 179.
– Son Traité d’Algèbre en allemand ; la traduction française en est annotée par Lagrange, 181, 188, 191, 200, 251, 269, 270, 272 ; XIV, 4, 14.
– Son Mémoire sur la Théorie de la Lune ; sa Dioptrique, XIII, 212, 215.
– Partagé le prix de la Lune avec Lagrange, 231, 234.
– Sa Theoria motuum Lunœ, 270, 273.
– Sa Scientia navalis. Gratification que lui envoie Turgot, à la demande de Condorcet, pour la traduction que l’on a faite de ce livre, 313 ; XIV, 39, 145, 151.
– Ses Mémoires sur la Théorie de la Lune, 10.
– Ses Mémoires sur la construction des cartes géographiques, 93.
– Anecdote sur lui et Lexell, 97, note 1.
– Critiqué, 117, 121, 122, 127.
– Sa Mechanica, 49, ,37,
2to.
– Son Tentamen novœ theorice Musicœ, 138, note 1.
– Sa Problematis isoperimetrici … solutio generalis, 138, note 2.
– Son Introductio in analysin infinitorum, 138, note 3.
– Observations de Lagrange sur sa Methodus inveniendi lineas curvas maximi minimive proprietate gaudentes, 138, 139, 144.
– Observations de Lagrange sur son Mémoire De infinitis curvis ejusdem generis, 140.
– Sa Methodus inveniendi lineas curvas maximi minimive proprietate gaudentes,
– Son Mémoire sur la vibration des cordes, critiqué par d’Alembert, 158, 163.
– Ses recherches sur la propagation des ébranlements dans un milieu élastique, 178, 198 ; ses Mémoires sur le son des cloches et des tambours, 187.
– Nommé Membre de l’Académie de Turin, 200.
– Sa Dioptrica, 227.
– Sa Methodus nzaximorum et minimorum 250.
– XIII, 75, 76, note ; 83, 89, 92, 93, 97, 99, 101, 103, 105, 108, 113, 119, 124-130, 169, 170, 337.
– XIV, 13, 8G ; 91,
255, 259, 266, 269,