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Krafft (W.-L.), XIII, 270, note 2.
La Breille (Solar de), ambassadeur de Sardaigne à Paris, XIII, 11, 152.
La Condamine (C.-M. de), Membre de l’Académie française et de l’Académie des Sciences, XIII, 163, 168.
– Son Éloge par Condorcet, XIV, 25, 40.
La Condamine (Mme de), XIII, 292.
Lacroix (Silv.-Fr.), Membre de l’Académie des Sciences, sa Lettre à Lagrange, XIV, 282.
La Galaisière, voir Le gentil.
Lagarde, libraire à Berlin, Lettre à lui adressée par Lagrange, XIV, 295.
Lagarde (Mme), XIV, 295.
Lagny (Th. Fantet de), Membre de l’Académie des Sciences, XIV, 272.
Lagrange (Joseph-Louis), père du géomètre, XIII, 86, 90, 92.
Lagrange (Joseph-Louis), fils du précédent (voir la Notice en tête du premier Volume), Note autobiographique, XIV, 286 ; est nommé à dix-neuf ans professeur à l’école d’artillerie de Turin, XIV, 146 ; prie Euler de lui trouver une position convenable en Allemagne (1756), 154 ; son voyage à Paris en passant par Genève ; il dîne chez Voltaire, aux Délices (1763), XIII, 10 ; obtient à l’Académie des Sciences (c766) le prix sur la question des satellites de Jupiter, 56 ; est proposé par d’Alembert au roi de Prusse et accepté par lui pour remplacer Euler à l’Académie de Berlin (1766) ; négociations à ce sujet, 53-75 son départ pour Paris ; son arrivée à Londres, 77 ; à Berlin où il est bien reçu du roi, 80 ; son mariage (1767), 100, 102, 104, 142 est content de son sort et ne désire point devenir président de l’Académie, 142 ; son aversion des disputes, 145, 224 ; sa maladie (1770), 173 ; le prix de la théorie de la Lune est partagé entre lui et Euler (1772), 231 ; élu associé étranger de l’Académiedes Sciences (1772), 238, 241 ; XIV, 268 ; ce que le roi de Prusse écrit sur lui à d’Alembert, XIII, 246, 252 ; remporte un nouveau prix à l’Académie (1774), 281 ; engage vivement d’Alembert à venir à Berlin où il pourra rendre de grands services, 397 ; recommande le violoniste Viotti à d’Alembert(1781), 37 1 ; mort de sa femme (1783), 377 ; président honoraire de l’Académie de Turin (l183), XIV, 126.
– Sa pension conservée par l’Assemblée nationale, XIV, 284.
– Son éloge du séjour et des environs de Paris. (1791), XIV, 284.
– Son Traité de Mécanique analytique, XIV, 116, 120.
– Ses Recherches sur la nature et la propagation du son, XIV, 164 et suiv.
– Critique par Grüson de sa Théorie des fonctions analytiques, 289 et suiv.
– Son Mémoire sur l’établissement pour le fonds des veuves, 273.
– Notes à lui adressées par Monge, 308, 311.
Lagrange, sa correspondance avec d’Alembert, le Tome XIII tout entier (voir les Sommaires de ce Volume).
– Nouvelles éditions de sa Mécanique analytigue et de sa Théorie des fonctions analytiques, XIV, 307, note 2.
Lagrange, ses Lettres à Condorcet, XIV, 1-52 (voir les Sommaires de ce Volume).
Lagrange, sa Correspondance avec Laplace, XIV, 53-131 (voir les Sommaires de ce Volume).
Lagrange, sa Correspondance avec Euler, XIV, 135-245 (voir les Sommaires de ce Volume).
Lagrange, ses Lettres à divers à Bézout, XIV, 276 ; au marquis Caraccioli, 279 ; à S. E. (probablement Crétet), 30i ; au comte da Fagnano, 249 ; à Gauss, 298, 300 ; à Sophie Germain, 286 ; au P. Gherli, 271 ; à Grandjean de Fouchy, 268 ; à M. de Grimaldi, 305 ; à Lagarde, 295 ; à son frère (fragment), 303 ; à Lorgna, 252-268 ; à Paroletti, 306, 307 ; à J.-J. de Marguerie, 270 ; à Mlle Julia de Saint Clair, 307 à Zanotti, 251. — 285, 289.
Lagrange, Lettres à des personnages inconnus, XIV, 273, 283, 302, 304, 305.
Lagrange, Lettres à lui adressées par divers : par Beausobre, XIV, 273 par Fossombroni, 294 ; par Grüson, 289 ; par Lacroix, 282 ; par Lambert, 269 ; par Rhode, 297 ; par Rumford, 30o ; par le comte de Saluces, 287.
– Son Discours à l’Académie de Berlin, XIV, 316.
Lagrange (Mme N.), cousine et première femme de Lagrange, XIII, 100, 102, 104, 142 ; sa mort, 377. – Voir Lemonnier.