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Page:Juigne - Dictionnaire historique (1643) - A-HYR.djvu/211

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de Platon, lequel estoit aussi appellé Aristocles. D.Laërce parle d’eux tous.

Aristoclée fille de Theophanes, iinitoeiee dwllcnteDeauté> de laquelle Straton & Callisthcnes deuinrent tellement amoureux qu’estant J tombée le iour de ses nopees entre îeúrs maìns,. ils la firent mourir à force de là tirasser tant d’vne part que d’autre ; dont toutesfois ils furent si desplaifans que î’vnd’eux se tua lurle champ , & l’autre s’exila tellement que depuis on ne fçait qu’il deuint. Plutarq. en fis narrât. <t-moureufis. .Aristoclides.Sïï*TM^pouuantiouyr. de-la Vierge Stymphalide âpres auoir tué son père, la massacra en suitte auprès de í’Autel de Diane où elle s’estoit réfugiée pour cuiter fa violence. Hiercontre louinian. Aristocrates.-XX" i ayant esté esteu Chef d’armée par lès siens , trompa puis âpres l’efperance qu’on auoit coueeuë de fa suffisance ; sé j’cndant aussi lasche aux effects, comineilauoic semblé vaillanten apparence. Suidai. Aristodemus’%£%££ des Hèracîides fur les Laccdemoniens. du temps du Roy Saul. Eufibe. « [• U y en. eut vn autre, Grammairien s précepteur des enfans de> Pompée. Strab. Âristodemus.^Sfa surnommé mol & efféminé poursalasciue. té, laquelle mefme il enioignitpar Edict public à ses fubjeóts & aux plus gfands.de.la Cour > afin qu’amollis par les délices, ils ne se reuoltassent contre sa tyrannie. Alex^ÁAlex. liu.2.ch.i$. Plut, és gestes des Femmes illustres’. Aíistogenes^^’-h^ : phe "Chrysipp’ë, —Sí Medeeilí rciïomms parla cure qu’il fist de la maladied’Antigonus Gonatas Roy dc Macédoine auquel il dédia les liures de. son wt. Suidas. _ ktistogiton , "°TM dc C£T <D 7 Athénien , lequel assisté d’Harmodius tua le tyran Pisistratus qui s estoit emparé d’Athènes i dont les Athéniens pour honnorer leur vertu, leurs dressèrent des Statues de bronze aux defpens du public. Pline liu. 34 ; chapitre 4. Et mefmes firent des » sensés à tous les Serfs de porter les noms d’iceux, commeestans deditz àla liberté du pays. Alexand, d’Alexand, liuz_0 chap. 26. Aristogiton ^’^r O nés, appelle Chien par les Athéniens > pource qu’il inueótiuoit contre Timothée, Timarchus s & autres Chefs plus renommez de la: Republique. Suidas. G’estoit vn homme de néant ; mais grand iableur •. L’on tient qu’vn iour feignant d’auoìr la iambe rompue deuant le Sénat des Athéniens pour s’exemprer dc. quelque charge publique que l’on luy vouloiteommettre, Phocion s’eseria, Escriuczqu’Aristogitonestboiteux, & uuat. & quant vaurien & mensonger

dont le

proncrbe, Aristugitencloche, —, ut jette depuis contre ceux qui contrefont les malades pour estre deschargez d’aller à la guerre ou négocier les affaires du public. Coel liu.z^.chap. 10. Aristomaque.^vf— : cède 58. ans à nourrir des mouchés à miel-, & en efcriuitdes liures. PUne liu.-. iv : chap. 9. AriiLumeaeb thienS) enuiron lan du monde 3350’. AristomenesdeMe{ïïlie *<* iiin.vviwvM. pitaine tres-iuste des Athéniens , ayant rauy vn iour.. (comme tesmoy>neS.Hierosrr>e)dou-’. . ze Vierges des mains des.Lace^émof