L VD FP ÌA^.» r04>- - à comparaison de luy , exerçoient les a’ plus honnorables charges,ii ne inefprisa n pas cet office ains Texerça fidèlement : » car ( dit-il) non seulemet le Magistrat J monstre quel est Thonime , mais auffi p phomme quel est le Magistrat. Mais c bien qu ilsust du commencement p’or--n téau repos de ì’estude, Sc d’vne vie pri-- r née, si est-ce qu’ayant esté poussé par r Parmenes â fui ure les armes, il y fist en f ditíeríës rencontres de si belles preuues s de son bon sens , de fa hardiesse Sc vail- < lance, que de degré en degré il monta t aux plus hautes charges de la Republi- < que,& ses Citoyens n’ayans pas tenu i beaucoupconte de luy estant aage de < -40 .ans, api es qu’ils sentent recogneu ~C <&c se furent’fiez en luy de leur armée, il conseruala ville de Thebes qui s’en al-I’oitperir, 8cdeliuratoutelaGrecedela serUitude des Lacedemoniens ; 8c de TD -faït,il remportafur les Lacedemoniens cette glorieuse victoire de Leuctres auec beaucoup plus petit nombre que fës ennemis n’en-auoient-.apréslaquelle ilrebaftit Sc repeuplala ville de ’Meflëne qui estoitTvne des nobles & ancien- íies’villesdelaGrece,cequiluy acquist vne grande rcpuration ;toutesfoisil fut malrecompensédepuisdefescitoyens,T car il fut accusé test apres pour auoir ’ rëténu la charge de Capitaine outre Sc - pardessus le temps prefiny par la Loy, mais il leur monftra fa générosité ; car aulieudes’excuserdcuiint les luges,il vint à raeontersès^braUèsex-ploicts, adioùst-ant qu’il estoit prest de mourir pourueu qu’ils fissent escrire fur fa sépulture le suie’ct dé ses victoires obtenues pendant ce temps : dont les-I -uges admirans fa magnanimité, ne daigne-
- ent scnlementibáloter,ny recueillirles
voix contre luy. M ais ayant esté derechef esteu Capitaine gênerai ’pour secourir les Tegeatés contre ceux de la ’ vilsosse Mántineè, comme il pourlui- , Uòit trop aípr eíhiént la victoire il fut - ’blëíìé -à^rnorï-ySc luy aduint ce qu’il . - - -- -~-f-> auoit fouuetiten la bouche,iJ^«ílaguerreest le lift d’honnestr-, & que ceps yne mort douce de mourirpourfia pairie. Les.. Thébains le firent inhumer aux defpensdu public,ne s’éstant trouuéaucun argent chez luy poursubuenir aux -moindres frais de ía sépulture. Ainsi mourut cé grand personnage queTon ne peut mieux comparer qu’à Caton poursagrande& eóstante vertu, ayant acquis à son pays la Principauté de la Grèce , laquelle depuis fa mort ses citoyens perdirent incótinent ;tellement que la gloire des Thébains nafquit Sc moururauec luy.Xemphon liu. dernier deschofis Grecques. P lutarque en fia vie. Epaphefils f Her f dc,î°’ »kr r A quel fonda, : la ville de Memphisen tgypte. Ouide liu.x. défis Metámorph. "P-t -vppfils d’Endymion Sc frère de X Paeon , qui le premier trouUa Tintiention.des engins & machines guerrières desquelles on vsoit anciennement pour renuerscr les murailles, on les nomme béliers, autrement cheuaux. Ce qui a donné lieu à la fable, de dire qu’il aitbasty le cheual de Troyc. Pline liu. 7. chap. 56. Justin liu. 20’. , "prOlfiff 1 v*e de 1 Ionie , Sc iadis la ±-àYl lumière déroute l’Asie, re-
nommée à cause de son Temple qui , estoit Tvne des sept merueilles du r -monde , touchant la’structure duquel 1 "z/cyC-resiphon.Elle fut bastie par lesÁ-- madones,& depuis augmentée par Anr d roc-us filsde Codrus, paufin.eniEstât
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-d’Achaïe. En cette ville fut tenule 3. Concile geneïal pour Tvnité’de la péris sonne en-îesus-Christ contre Nestorius,
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. présidant -Cyrille Alexandrin au nom
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du Pape Célestin I. Tan de grâce 451.
- - Euagr.lí-u.i-.ch. ^..Socrate liu. i.-c -hap.’^.
- Ephialtes fi£.d* ^ep ;u»e */ilaA
phimedie femme d A- 11- loeus.^ay Aloeus. ut ^ 11 y eut vn Ephòre des Lacedemol’il fíiens de ce nom,lequel en haine de sor» "’ ’ """ Vuu "-
