Page:Jules Vallès - L'Enfant.djvu/284

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Assassins ! assassins !

Cela sortait de ma poitrine comme un sanglot, et je le répétai longtemps dans un frisson nerveux…

Je me réveillai, la nuit, croyant que Louisette était là, assise avec son drap de morte, sur mon lit. Il y avait son petit bras qui sortait, avec des marques de coups !…