Page:Kant-Mélanges de Logique (trad. Tissot), 1862.pdf/432

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H^toutanatomiste comme phystôlegiMe). *U*i(fcN* foftdamentale, cause d'une organiaaÉionydoitaorn être conçue comme une cause .fui agit eutvanli^det J&w, de telle sorte que ces fin» doivent êtpe damée*, comme fondement à la possibilité de l'effeUO enfin., nous ne connaissons de force de cette natnra, agisastoft d'après ?>? principe déterminant rqtfeti nous* mêmes par l'expérience, ? savoir dans notre enten­dement et notre volonté, comme cause de la pose** -bilité de certaine effets opérée uniquement d'après de*-fins, c'est-à-dire des œuvres d'art. L'entendement et la volonté, sont en nous des forces, ou facultés fonda­mentales, dont la dernière, comme déterminée par la première., est une faculté de produire quelque cbose.fuwanl une idée qu'on appelle fin. Jfaie jmmis ne devons concevoir en dehors de tonte expérience aucune nouvelle force fondamentale, telle que serait cependant celle qui agirait en vue d'une fin dans nn être, sans néanmoins avoir le principe déterminant dans une idée. La notion de la faculté d'un être est donc d'agir de soi-même conformément à une fin; mais une. faculté d'agir sans but ni dessein qui serait en elle ou dans sa cause, comme une force fondamentale par­ticulière, c'est ce dont l'expérience ne donne pas d'exemple; c'est cependant ce qui peut très-bien être imaginé, mais d'une imagination vaine, c'est-à-dire sans la moindre assurance qu'un objet quelconque peut y