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LES MANUSCRITS DE LÉONARD DE VINO» 8l

confusion de l'action, attentifs au comman- dement du capitaine ; et celui-ci, le bâton levé et courant vers la réserve pour lui mon- trer à quel endroit il faut appuyer ; et une rivière où des chevaux s'élancent, remplissant l'eau autour d'eux d'une agitation jaillissante et ccumante, éclaboussant l'air et les jambes et le corps des chevaux : et ne laisser aucun endroit vide, si ce n'est les piétinements sanguinolents (i).

La partie éclairée doit se terminer sur une chose obscure, et la partie ombrée sur une chose claire (2).

Quand tu dessines d'après nature, tiens toi éloigné de trois fois la grandeur de la chose que tu dessines,

32 r. et v. Ombre et lumière.

��(i) Les fraf^ments que uous possédons Je /.i I)jl<ittU d'Anghiari léalisent Jet parties Je celle Jescripiiott, enh'julrts l'épisoJe Je l'élenJarJ, gravé par lùielinck.

(a) Erreur véritable ; on peut enlever cluir sur cUir cl c'est m^.me le propre des valeurs de se superposer par diffé- rence de ton cl non par gradulioiis de lumicrc.

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