Page:Léonard de Vinci - Traité élémentaire de la peinture, 1803.djvu/67

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Chap. CCCVIII. Diverses observations sur la perspective et sur les couleurs. 
 253
Chap. CCCIX. Des villes et des autres choses qui sont vues dans un air épais. 
 254
Chap. CCCX. Des rayons du soleil qui passent entre différens nuages. 
 256
Chap. CCCXI. Des choses que l’œil voit confusément au-dessous de lui, mêlées parmi un brouillard et dans un air épais. 
 ibid.
Chap. CCCXII. Des bâtimens vus au travers d’un air épais. 
 257
Chap. CCCXIII. Des choses qui se voient de loin. 
 ibid.
Chap. CCCXIV. De quelle sorte paroît une ville dans un air épais. 
 258
Chap. CCCXV. Des termes ou extrémités inférieures des corps éloignés. 
 ibid.
Chap. CCCXVI. Des choses qu’on voit de loin. 
 260
Chap. CCCXVII. De l’azur dont les paysages paroissent colorés dans le lointain. 
 ibid.
Chap. CCCXVIII. Quelles sont les parties des corps qui commencent les premières à disparoître dans l’éloignement. 
 261
Chap. CCCXIX. Pourquoi à mesure que les objets s’éloignent de l’œil ils deviennent moins connoissables. 
 262
Chap. CCCXX. Pourquoi les visages vus de loin paroissent obscurs. 
 ibid.