Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/13

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toute la politeſſe, & elle eſtoit née avec tant de diſpoſition pour toutes les belles choſes, que malgré ſa grande jeuneſſe, elle les aimoit, & s’y connoiſſoit mieux que perſonne. La Reine ſa belle-mere, & Madame ſœur du Roy, aimoient auſſi les Vers, la Comedie & la Muſique : Le gouſt que le Roy François premier avoit eu pour la Poëſie & pour les Lettres, regnoit encore en France ; & le Roy ſon fils aimant les exercices du