Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/168

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ger à ſon amant, qu’elles en ſont entierement occupées ; que ce ſoin de ſe parer eſt pour tout le monde, auſſi bien que pour celuy qu’elles aiment, que lors qu’elles ſont au Bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent ; que quand elles ſont contentes de leur beauté, elles en ont une joye dont leur amant ne fait pas la plus grande partie. Il dit auſſi, que quand on n’eſt point aimé, on ſouffre encore