Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/214

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maſſiez d'avantage. Il eſt vray, répondit-il, mais les femmes ſont incomprehenſibles ; & quand je les voy toutes, je me trouve ſi heureux de vous avoir, que je ne ſçaurois aſſez admirer mon bonheur. Vous m’eſtimez plus que je ne vaux, repliqua Madame de Cleves en ſoûpirant, & il n’eſt pas encore temps de me trouver digne de vous. Apprenez-moy, je vous en ſuplie, ce qui vous a détrompé de Ma-