Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/216

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de ne ſe remarier jamais, ait donné des eſperances à Sancere. Si elle n’en euſt donné qu’à luy, repliqua Monſieur de Cleves, il ne faudroit pas s’étonner, mais ce qu’il y a de ſurprenant, c’eſt qu’elle en donnoit auſſi à Eſtouteville dans le méme temps : Et je vais vous apprendre toute cette hiſtoire.