Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/174

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par vous que par moy que ce ſecret ſoyt échappé. Vous n’avez pu ſoutenir toute ſeule l’embarras où vous vous eſtes trouvée, & vous avez cherché le ſoulagement de vous plaindre avec quelque confidente qui vous a trahie.

— N’achevez point de m’accabler, s’écria-t-elle, & n’ayez point la dureté de m’accuſer d’une faute que vous avez faite. Pouvez-vous m’en ſoupçonner, & puiſque