Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/181

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

LIVRg EONI. ll se coucha ette soiree. L ’air estoit ? eint de cent coulears ; Jamais parterre piein deeurs ent rant de sortes de muances Aucune va ? eur n gastoi G Par ses malignes influences, Le ? laisir qu Acante goustoit. On luy donna le loisir de conslderer les dernieres beaufez du iour : puis, la Lune estant en son plein, nos Voyageurs et le cocher qui les conduisoit la lurent bien pour Ieur guide. . Ainsi dans l’6dition originale et dans les OEures diverses de M. nE LA FOIqTAINg> Paris, Didot, 179, t. p. 28. Partout ailleurs nances. FIN. La Fontaine. III. I a