Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/209

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L,So’No g V.3x. 205 Gelaste.i : e. qtle eel& v9uloit.dir# ; ll-me ’tipoMit sue plusieurs personne..aoient dj fait’ la des6ipti6n de quelqueg : en’droitse oe : fi.9’., Ur’ tout’ qu’il m’en vouloit.montrer une du/allon, ! aquelle..on he. pouvoit Gets : contestation ds : deux Fes, et le iouenlr.de ce.qu,les autres avoieni,dit mbar}’aiierent]es’juges fie= tella. s0e, qils. se. : P’irli6n{.pes : . d’n. ’fluart d ? hiufe ansfien resbud}e. : ’Oepeh’ant qe rede e’la comvagne entretfinoii ausi.’de cate aCfion,,u moths il.m.t’semgl.a.’ ; .ear-tes u,s et [es’gUigs parlgie ? trop bas :,.et,nos : estions top,1oignez pour.en neo tndr, Enfin les juge ordonerent pour tout resultat que, puis..,ue lei ehoses.est0ient-tellement-tgales, ces quatres F&s ferotent parottre..sur le champ. quelque &hantilion de lur Art, aria5 u’.o’n"cffi{’laquel’le de toutes estoit la plus sgavanie ’afis’la magic. Cela fur prononc par Fun des trots }uges : chacun tmoigna en }stre content. Aussi estoit-ce une nouvelle occasion de elaisir. Oronte luy-mesme sembla l’approuver par un get mouvement de terre.’ '11’ se fit ensuite un fort grand silence, les esprits estant demeurez cornroe suspendus dans I attente d autres merveflles. — AVERTISSEENT. Cet asfez ’de ces’dex’ t&antillons pour consulter le ublic sur ce qu’il y ’ a de serieux ’ dans m.gn Songe ; il faut maintenant que jele consuite sur ce qu : il y a de galant ; et ; selon l’ugement qu’il flra de Fun et de l’autre, je me regleray s le continui cet ourrage.. Le leaear sfau1. La Fontaine a sans doute en rue ici une description de Flibien sur laquelle no’reviendrons dans une pr aine note. Voyez ciZrs pig ? t 41 : —