Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/217

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

LE ONOE DE VAI3X. Enfin ette ame ’au partit Du eorps-d’une Beautl qti thanwit cornroe tn Ange En ntrattt dans ce Cigna e.ut..nne pnr itrange, royant avoir pour matson Un olson ; Sans se souvenir l’heure D’ une semblable demeure Oh jadis le Roi des Dieux, Pour Ioger avec ell a)’ant quittl l,s Cieux, Se fit blanc comm un Cigne,,t donna dans la D Lde yeux si charman. Comment s en ft souvenu. L’am, au boutde deux mill aris Et comment de chaque Se pourra-t-elle souvenir Ne-dant pas si-tt finir Ace qu’Aollon ssurel Elle doit, ce dit-it entrer ’ Au corps du premier enfant ue fera cemainc Belle

Philis pour le prdsnt 

On appelle. Maix quahal le Cigne mourra, L ’Enfant pourra-t-on ire encor fait ne sa. En c cas, l’ame au lus te ’ En attendant que ce g, te Ser, ncont en son chemin, P,ut loer dans des corps qui dls le lendemin oans six mois, dans un Verront leur fin termiMe. Voila ce qu’il m’en a dit : ’ on en fasse son Cela me sut, dis-ie Lyeidas ; mais ]e Dieu. que vous me donne2 pour caution’de votre Metempsycose auroit-il blen pns la peine de visiier un Cigne mainde ? Comment (rapattiC Lycidas moiti en coler)y at-il quelque chos dans Vaux dont Apollon ne rioire :