22 PSlCHI. Dans le fond de la Grote uue arcade est remplie De marbres cl qui Fart a donn de la tie. : ’ Le Dieu de ces rochm, sur. une une panh, Gouste un raorne repos, en son antr couqht. L ’ urne verse un torrent ; tout l’antre’s' et abreue ; L’eau retombe en gla[ et.fait un large [leuve. .l’a t ’us u’ cl resent eprimer qudques (raits De ceux que 1 oa admtre en ce motte ? alas : Le reste es au dessus de mon : foible genie. Toy qui lu)’ peux tonner une force infinie, Dieu des yers et du four ? hoebus, inspire moy : Aussi bien desormais faut-il arler de toy. Ouand le Soleil est las, et qu il a fait sa tasche, ll,descend chez The’tis e prend quelque rdasche : C est ainsi que Louis sen va e dlasser. D’ un soin que tous ks fours il faut recommencer. St I estots plus slavant enl art de bten crtre Je peindrois ck Monarque tendant son Empire : II lancerOit la foudre ; On verroit tt Ses piez’ Des peuples abatus d autres humthez. Je laisse ces supers aux maistres du Parnasse ; Et pendant que Louisj peint’en Dieu de la Thrace, Fera bruire en leurs ers tout le sacrl valon Je le celebreray sou le nora d’Apollon. Ce Dieu, se reposant oas ce vouteikumides, Est assis au milieu d’un chœur de Nereides.. Toutes sott des Venus, de qui Fair graceux N’entre point dans son cœur, et s’arreste kl.ses yeux.. I1 n’ayme que Thetis, et Thetis les surpasse.. . Chacu’ne, n le servant, fa’tt qffice de grace : Doris verse de l’eau sur la main qu’il lu)’ tend ; Chloe dans un basstn reott I eau qu tl rlpand ; A lu laver les#teds Mehcerte s apphq e ; Delpzire entre s’es bras.tlent un vase l’ antique ; Climene auprls du ’Dieu ousse en vain des sotlpirs : Hdas ! c’est un tribut qu elle knvoye aux Zephirs ;
