Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/288

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

284 LETTRES. de cdux que vous fera cette belle lille, dont la beaut doit estre fort. 1oquente de la faon qu’on me l’a dpeinte. J’ira / Paris derant la fin du caresme, et peut estre d[vant la fin de la sepmalne oh nous allons-entrer ; ce sera pour aviser avec vous au tooyen de terminet nostre affaire. Mademoiselle de La Fontalne m’en presse ; ce West pas qu’elle soit plus mal qu’elle n’estoit il y a six mois ; mais il est bon d’asseurer la chose au Ilus tost. J’y ai un interest trop grand pour la laisser ilus long-temps au hazard, outre que mademoiselle de La Fontaine ne veut pas faire Paris un long sjour, et sera bien ayse de trouver les affaires toutes disposes. Avec vostre permission, mademoi sell Jeannart aura pour agr6ables roes trs bumbles baisemains. Je suis, ’MONS’IEUR MON ONCLE Votre tr,s humble et trs ob{ssant serviteur, DE LA FONTAINE. LETTRE VI. AU MgME. Rheims, ce 9 aot (68). Je vousrenvoie le calcul He ma sceur, biendiffrent du mien. La ’diff&ence vient de ce que, dans le.m. moire des quittances que vous m’avez envoyes,’il y taine, en date du 6 iuillet t662 : tc Renvoyez-moi cette bagatelle des Bains de Wgnus, et me mandez ce qu’en pense votre Acadmie de CMteau-Thierry, sumout mademoiselle de La Fontaine.