L ; TTRES, ’'99 (m ans l’ eort de c,t Atlas ’ Etlt fa. it suecomber d autres Princes Ne pse point au ridire, et, non plus que les Cieux, N’ ci besoii pour support que du maitre des Dieux.’ Tous ses commencemens ayant estl si beaux, .C, eluy de son Hymen nous promet des miracles : den attens tm Dauphin dont les exjIoits nouveaux Ne pourfont tenconifer d’assez putssans obstacles. La victoire en tous lieux le doit accompagner. Sans qu’il se fasse craindre on le verra regner ; ’ est bien le mieux, qui Ie sait faire : Les peoples les plus tiers sous un joug volontmre Se verront d’eu-mesmes soamis. .4ux dlpens de ses ennemis Son Es-tat un jour doit s’accroltre. II aura les Dieux pour amis, II aura son Pere pour maitre. Terese, leportant avec un soin si tendre, L’ornera de venus et de dons inoais : dugez quel il doit estre, et ce qu’on peut attendre. D’ un chef-d’euvre [orm par elle et par Lout’s. De sa Me’re il tienda la douceur et les charmes ; Et de son Pete, Fart de dompier lar le armes Ceux qui resisteront toutes ses oontez : II sera conquerant en diverses manieres ; Et son Empire un jour n’auraplus de frontieres, Non pas roesroe les ceurs des plus fieres beautez. Cellt dont nous yenohs de &anter l’hymente Ne peut qu’ elle ne rende un tel euvre accompl7 ; De bien tooins de fleurons sa teste est couronnee LQ._ue son cœur de vertus ne se montre reinply. es Graces, les Beaut{,z,, qui reluisent en eIle Ne font qut la moitid dun. tout si precieux ; Son esprit est divin, son ame est toute belle : T erese est Un. ehef-d’ aeuvre achev par’ les ’ C iux.
