Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/310

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506.L.v xrRg. J’en suis ravi, car c’est mon homme Te souvient-il bien qu’autrefois Nous avons conctu d’ une voix Q.u’il alloit ramener en France L bon g,ot et l’air,de Terence Plaute n est p’lus qu un plat bouffo Et jamais il ne fit si bon Se trouver la Comedic ; Car ne pense pus flu’on De maint trait jadts admirl, Et bon in illo tempore ; Nous avons changi : de mdthode ; .lodelet n’est ptust la mode, Et maintenant il ne faut pus Quitter la nature d’un pus (). On avoit accommod le Baler la Comdi nutant quill toitposslble, et tousles danscurs y repr.seutolent des fcheux de plusieurs manires : en quo certes ils ne parurent nullement fcheux notre gard ; au contraire, on les trouva fort dlvertissan et ils se retir6rent trop t6t au gr de la compagnie. Ds que ’ce plaisir fur tess6, on courut t celui du feu. Je voudrois bien t’tcrire en vets Tousles artifices divers De ce feu l plus beau du monde, Et son combat avecq.ue l’ond Et le plaisir des assistans. Figure-toi qu’en mm temps On vit partit mille fusles Q..ui par des routes embrastes Se firen ! toutcs dans les airs Un chmin ’tout rempli d’ dclalrs Chassant la null, brisant ses voiles. As-tu v tombet des toiles . C quatre derniers vets ne sont pus dans les manuscrits de Tulletaunt des