Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/313

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LETTRE. 0 roes affalres mort cher ami ; elles me toutbent pas lant que le malheur qui vient d’arriver au surintenant. Il est arrt6 etle roi est violent contre lui, au point qu’il dit avmr entre les mains des pilces qui le leront pendre… Ah ! s’il le fait il sera autrement cruel que ses ennemis d’autant qu’it n’a pas cornroe eux, intrt d’itre injuste. Madame de B. 0) a requ un’ billet oh on lui mande qu’on a de I’inquitude pour M. Pellisson : si Ca est, c’est encore un grand surcrot de malheur. Adieu, mort cher ami ; t’en dirois beaucoup davantage, si j’avois l’esprit tranquille’ prsentement ; mais la prochaine lois je me ddommagerai. pour aujourd’hui. Feriunt summos fulmina montes ().. L ’r'r R XIIIO). A M. FOUO,..UET. MONSEIGNEUR a tou[ours hen cru que vous saurlez conserver ta libert cle votre es. prit dans la prison mme ; et ie n’en veux pour tmmgnage clue vos dfenses’ ; il ne se peut rien voit de plus convaincant, ni de mieux crit d. l.adame de Bellire (Duplessis), l’amie et la confiente ae Fouquet. Voyez dans les Mmoires de Conraft, publis par M. Monmerqu, une lettre en date du 9 septembre 662, qu’elle &rivit / cette poque . Pomponne, (tome XLVIII, p. 259. Watckenar.) a. Decidunt turres, feriuntque summos Fulmina montes. (Horat., If, Od. X, t : Publie pour la premiere lois dans les auvre di,erses de. 7.t. IIr p. 2[..