Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/362

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8 LETTRES, pose des Hvres de controverse : au reste, l’homme plus a uevous ayez veu et ui son e e tooins g.q -,, q 8’. aux a/ares excepte celles de son plasr. Je crols qu’il s’est mari plus d’une fois ; la femme qu’i[ a maintenant est bien faite, eta certainement d’u me’ rit. e : je luy seals bon gr& d’une chose, c’est ([u’elle caleole son mari, et vit avec luy cornroe si c’estmt son g.alant : et ie_scais bon gr& d’une chose h son mari, c’est qu’.il.luy fait encore des enfans. I1 y a ainsi d’heureuses v]edlesses, h qui les phisirs, I’amour et les graces tlennent compagnie jusqu’au bout : il n’y en a uere, mais il yen a, et celle-cy en est une. De vous uire quelle est la famille de ce parent, et quel hombre d’enfins il a, c’est ce que ie n’ay pus remarqu, mort humeur n’estant nullement de m’arrester /tce petit peuple. Trop bien me fit-on voit une grande fille., que je consideray volontiers, et qui la petite verole alaiss& des raees et en,a_ ost. C’est domrouge : car on dlt que lamais fille n a eu de plus belles esperances que celle-l. Quelles imprecations Ne merites-tu point, cruelle maladi Qui ne peux voit qu’ avec envie Le sufet de nos passions ! Sans ton yenin, cause de tt de larmes, Ma parerite m’auroit fait moitid plus d’honneur : Encore est-ce un grand bonheur Ou’elle ayt eu tel hombre de charmes. Tu n’as pus tout destrait ; sa bouche enest tlmoin, Ses yeux, ses traits, et d’autres belles choses. Tit luy laissas des lis si tu luy pris des roses ; Et cornroe elle est ma parente de loin, On eut enser u’ ; t le lu dire , J’auProis pP[is unCrt granYd plaisir : J en eus la volontd, mais nonpus le 1oisir : Cette aveu luy pourra suffire.