Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/386

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8’2 LETTRZS. ,i’ tort de dire O) ue ’e m’eu 6tonne ; il faudroit Y.,, q I. . au coutrmre s etonner tue cela ne lust pas amsn Comment cesseroit-il d’mmer une femme souverainement iolie, complaisante, d’humeur 6gale, d’un esprit doux, et qui l’aime de tout son cmur ? Vous ,oyez bien que-toutes ces choses, se rencontrant dans un seul suiet, doivent prevaloir la qualit6 d’6pouse. J’a tantde laisirten arler, que ’ereprendra une Y. P. P, Y autre fins la matiere. OeMadame Hervart ne pretende pas en estre quitte. Je devrois tinir par l’article de ces deux Dames. I1 faut ourrant ue le vous mande, Monsieur, en uel P q. q estat est la Chambre des Phfiosophes. Ils sont cults et embelissent tousles jours. ’J'y ay ioint un autr’ ornement qui ne vous dplaira pas, si vous leur faites l’honneur de les venir voit avec ceux de vos amis qui doivent estre de la partie. Mes Philosophes cults, ]’ay vouln que Socrate, Et Saint-Dit mort fidelie Achate, Et de la Gent porte-tcarlate D’Hervart to,t l’ornement, avec le bean Berger Verger, Pussent avoir quelque musiqne Dans le sejour Philosophique. . Vous vous moquez de mon dessein. J’a ce endanun Clavessin Y Un Clavessm chez moy. Ce meuble vous Itonne. O,9e direz-vous sije’vous donne Une Clods de qui la voix Yjoindra ses sons quelquefois ? La Cloris est }olie, etjeune ; eisa personne Pourroit bien tamenet Famou-r x. d’ay tort de vous dire… dans les auvres diverses de 79 et dans les 6ditions modernes. . Nora qu’il avoit fait ]etter en rnoule de terre toys les grands Philosophes de l’antiquitd qui faisoient l’ornement de sa Chambre. (Note des ouvres postumes.)