Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/446

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442 LETTRIgS. ue ne lui vit-on f. as donner aris le temps qu’tl tint cour pleniere our une Feste singuliere ? Chantlily fur la Scene, ob]’et () delicieux. Sans que tout lust parfait, chacun fit de son mieux. Tous rappoerent de ces lieux De grosses at notables somms. I1 p cornrot les Dieux Ce qu ils ont fait cornroe des hornroes. II n’est bruit icy que de v6e Prince. Tout le monde lui attribu l’avantage que nous avons remport au combat de Steinkerque. C’est lh un fort beau suiet de Pomme : le ractere du Heros, l’action et les circonsnces, il n’y manque rien que le bon Homere ou le bon Virgile, si vous voulez ; car, pour vostre Pote, il ne hut plus vousv attendre : ie suis puis, us, sans nul fed, et ne qay comme iay pfi urer ae ma teste ces derniers Vers. and i e dis que ie suis sans feu, c’est de celui qui a ht les Fables et le Conres que ie veux parler ; car d’ailleurs ie ne sins pas awec moins d’ardeur ue i’eois i l y a dix ans, Monsieur, vostre tres-humble et tres-ob6ssant Serviteur et Pote. Ces Vers ont est6 commencez incontinent apr6s la prise de Namuret avant les dernieres actions de Monsieur le Duc. Je les ay,confinuez sur ce Plan, car que ce Prince meconstitulofi]ours en denouvea.irais(a) ar de nouveaux t6moignages de sa valeur ni mo fi Vge de vln-clnq aris, nl teste d’homme n’y uffirot. . Endrolt, dans la copie de La Fontaine. a. Dans la copie de La Fontaine : avant lea dernitres actions de Monsieur le DuC h votre combat d’Enghien. On n’a pus sit6t 1ou6 une chose qu’il en vient une autre. Dites fi ce Prince qu’fl nous donne quelque relfiche, r il nous constitue toujours en de nouveaux ais…