Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/46

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se le dist a.u, ssi. Ah ! simon mary me vovoit par& de la sorte ! s’&rioit-elle souvent estant seule. Eh ce moment lt son mar la voyoit peut-estre de uueloue endroit d’o il ne pouvoit estre veu ; et, ourse le’plaisir de la voir, il avoit celu d’apprendre ses plus secretes penes, et de lu entendre faire un souhint o l’amour avoapour le morns autant de pa que la bonne opinion oe soy-mesme. Enfin il ne se assa presque point de j[ qe Psich he. changeast d’ajuStement. Changer9 aluse ? ,tous 1 iou[s s’cria Acante ; je ne vouaros ont u autre araUis uour nos Dames. On aroma qu’d avoil raison, et il nSy en eut has un dans la compagnie qui ne souhakast un pareil bonheur quelque femme de sa connoissance. Cette reflexion e rant laite, Poliphile reprit ainsi : . Nostre Heroine passa presque tout ce premier iour

voir le logis : sur le soir elle s’al a oromener dans 

es courset dan. les jardins, d’o elle onsidera quelque temps les &verses hoes de l’difice, sa majestY, s enfichissemens, et ses graces, la proportion, le bel ordre, et la correspondance de ses paes : e vous

frpis la description si j’estois plus savant dans 

rcntecture’oue e ne suis Ace defaut, vous a . .,. urez recours au Palais d Apoihdon ou bien 3’celu), d’Armide ; ce m’est tout un. ant aux jardins ; voyez ceux de Falerine ;,ils vous pourront donner quelque idle des lieux que jay dcrire. ’ Assemblez, sans aim si loin, Vaux, Liencourt, et leurs.Nayaries, Y joignant, en cas de besoin, Rui’l arecque ses cascades. Cela fait, de tousles cosfez, Placez en ces lieux enchantez Force jets affrontans la nui, Des canaux,ivene de reui. ordez-les d Orangers, de Mynes, de Jasmins Qui soient aussi geants que les hOStres sont nains ;