?7 2 LA COUPE ENCHANTI?E. SCENE XI. LUCINDE, LELIE? PERRETTE. '?. ERRETTE. Madame, le voila tout seul. LUCINDE. Approchons-nous? pc;ur voit ce qu'il dira en nous voyant. LELIE. Mort Pete n'est pourtan,t:.pas .un bon Pete, de ne me pas montrer tout ce qu I1 sgmt, et c'est ce qui fait que ie n'ai pas de peine .A me re- soudre h le quitter. PERRETTE. IIne faut pas (,) lui dire d'abord qui nous sommes; mais ie gage bien qu'il le devinera. LELIE. Je re'imagine que tout ce qu'on ne veut pas ..clue ie s(?ache est cent fore (2) plus beau que ce que 'e s?ai. Je ?nse ie n? s(;ai combien de choses, toutes plus ]olles les unes que les autres? et ie meurs d imp - tierice de s avoir si ie pense iuste... Mais que vois- i.e,? Voilh ?ux ieune? {?ar(;ons ioliment hab[llez; ie nen ai point encore vfi cornroe ceux-l&. Je voudrois bien les aborder; mais }e ?uis tout hots de moi-m?me, et je n'ai l?as presque0)la for? de parler. !Is s.e b. afis? sent et pros se (4)haussent, qu'est-ce que 'cela signme r LUC?D?,. Nous hesitons i vous aborder. LE?.?,. Ils parlent cornroe moi;. que de questions ie vai leur faire! "' Lucmo?,. Vous paroissez ?tonn? de nous voit? L?:t?, Oiii, ]e n'ai }amais rien .vfi de si beau que vous, ni qui re'air iant fait de phisir ? voit. PERRETTE. Oh! mort 'de ma vie, que la nature est une belle chose ! L?,?-. D'oh venez-vous ? qui v?us a conduits ici ? x. var.: ptJint.. 2. Var. cent mille lois. 3- Vat, :. presque pas. 4..-var,: ils ?e. ' �
�
