Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 4.djvu/472

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472 ACHILL?-. LYDIE. Je le vais attester, et veux que mort adresse Vons donne le 1oisir de voif �ostre princesse. SCENE III. ACHILLE? BRISEIS. ACHILLE. � ? uy, Madame, ie prens tous ]es Dieux pour ?t ?'[1 } t?moins ?k?[? O,?e vous ,eule avez fait roes pensets et roes L-?'-..?--,,?) soins. Je ?' ?nats al emp!oyer l'ordinaire lan� Des douceurs qu i l'amour on donne en apannage: Mais croyez, au defaut d'un entretien flatt'eur, - Q?e ma bouche en dit tooins qu'ii n'en est dans mon cceur. BRISE'/S. Vous en dites assez, Sei�r; ie suis contante, Et n'osois me flater d'une si douce attente. Car que suis-je ? les Grecs m'ont ravi roes ?tats: I1 ne m'est plus rest& ?tue de 0) foibles appas. Ay-je droit de pr&endre, esclave et maiheu'reuse, Q_ue d'une ardeur constante, autant que genereuse, Un prince tel que vous dai�me consder, Et qu'au titred'?pouse il veuille m'appeler ? Vos promesses ? seisneur, et cet exc?s de gloire, Font que je n'oserms en douter, ny le croire. ACHILLE. C'est me connoistre mal que d'en pouvoir douter. Vos tratts n ont plus besom de me solhclter ( ); i. Premier texte: que roes. ?. Avant de s'arr?ter ? cette r?daction? La Fontnine avoit (?crlt: gst-il rien que vo$ traits ne puissent m&iter ?