ACTI? I? SC/?N? IV. 475 Ne vous lassez-vous point de les entendre dire ? Ma rougeur me confond: je sors donc; aussi bien Ulisse va venir, et je ne craindrois rien ! (Patrocle eattel) Resistez/t son art, opposez-l?t)' 'ma flame; Opposez-luy du moins la fierte de vostre ame. . 0,? vous importe-t-il qu'on range M?n61as ? Songez & v?s par3ns , & vos destins, h?las ! Aux miens qui les ?ivront. ray pour tout artifice Les pleurs que vous voyez: pourront-ils tooins qu'Ulisse Employray-je des traits moins seurs de vous toucher ? Adieu, Seigneur; garde z un courroux qui West cher'0). SCENE IV. ACHILLE? PATROCLE. ACH1LLIg. Ach??le te uelque fiert? qu'on ayt, quelque setmerit qu'on fasse, PatrocI% il faut aymer. Tu me croyois de glace; ' sembloit devoir tout d?daigner: Tu vois, ainsi qu'un autre il s'est laiss? gagnet. l'ayme. ie suis touch?, ie fais gloize de l'estre; L'heure enfin est venice, oh lorn d ag?r en ma?stre ? En hfiros qui partout veut estre le vainqueur, le me rends, et connois les foiblesses d'un c?eur. PATROCLE. N'appellez point foiblesse un tribut l?gitime. ?. on lit en marge d e la sc?ne v de l'acte II: BP. ISEiS, ? Achille. gpargnez des Troyens les miserables restes; Laissez durer encor l'teu?re des mains c61estes. La Fontaine vouloit sans doute placer ces deux vets dans Ie motceau qui pr&?de.
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