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Page:La Tailhède - De la métamorphose des fontaines, 1895.djvu/31

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PREMIÈRE ODE
À JEAN MORÉAS

Tu dis, et de ton doigt levé sur les sept cordes,
Ainsi qu’au vent nouveau frémissait la forêt :
Car tes rythmes, ô Apollon, tu les accordes
Au son de l’Arc.