Aller au contenu

Page:Laberge - Hymnes à la terre, 1955.djvu/16

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
12
HYMNE À LA TERRE

leur promenade du dimanche après-midi. Un calme absolu, une grande paix enveloppaient la campagne. Je baignais dans la douceur, le silence. Avec volupté, je sentais le soleil me chauffer la figure, les mains, me pénétrer tout entier. Je goûtais le repos complet, une béatitude parfaite.