Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 03.djvu/133

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
Pitois.

Puisqu’il a le droit de gratter… qu’il gratte !


Scène X

Célimare, Pitois, Colombot
Colombot, entrant par la gauche.

Mon gendre… j’ai à vous parler.

Célimare, à Pitois.

Laisse-nous ! (Pitois sort.) De quoi s’agit-il, beau-père ?

Colombot.

Monsieur, je quitte ma fille… elle m’a tout appris… c’est révoltant ! Un… passe encore !… mais deux… Ah çà ! c’était donc une profession chez vous ?

Célimare.

Ah permettez, beau-père, mon passé n’appartient pas à ma femme…

Colombot.

Soit !… mais il ne faut pas qu’il vienne s’installer dans votre ménage… votre passé ! et qu’il yraconte des histoires de chien et de perroquet… biscornues !

Célimare.

Qu’y faire ?

Colombot.

Je vous préviens que ces dames font leurs paquets.

Célimare.

Comment ! ma femme ?…