Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 03.djvu/38

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Célimare, à part.

Aïe !… (Indiquant Bocardon.) Et l’autre qui est là !

Bocardon.

Permettez… C’est impossible !…

Madame Colombot.

Pourquoi ?…

Bocardon.

Il passe toutes ses soirées chez moi.

Célimare.

Oui… nous jouons le bézigue.

Bocardon.

À deux sous… L’autre jour… j’ai eu le quinze cents… J’aime bien ça !…

Madame Colombot.

Mais pourtant cette lettre affirme…

Célimare, jetant les yeux sur la lettre, à part.

Pristi !… l’écriture de madame Bocardon.

Bocardon, s’avançant.

Voyons voir !

Célimare, se précipitant entre lui et madame Colombot.

Non, c’est inutile !

Bocardon.

Pourquoi ?…

Célimare.

On méprise ces dénonciations anonymes… mais on ne leur fait pas l’honneur de les lire !

Madame Colombot, montrant sa lettre.

Cependant, mon gendre…