Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 04.djvu/159

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Georges.

Qu’y a-t-il, monsieur Dutrécy ?

Dutrécy.

Attendez !…

Fourcinier.

L’effet de mon ordonnance !…

Dutrécy, allant à la porte de gauche.

Thérèse !… Madame !… on va me connaître.

Thérèse.

Qu’est-ce donc, mon oncle ?

Dutrécy.

Mes enfants, le cœur d’un onde est presque celui d’un père ! je ne veux pas plus longtemps contrarier une sympathie… Georges !… je vous rends ma parole !

Tous.

Comment ?

Georges et Madame de Verrières.

Ah ! monsieur Dutrécy !…

Armand, à part.

On me l’a changé !

Thérèse et Armand.

Ah ! mon oncle !…

On se groupe autour de Dutrécy et on le félicite.

Fourcinier, à part, sur le devant.

Il devrait se faire peindre comme ça !… un Greuze !…

Dutrécy.

Je sais aussi me sacrifier quand il le faut…

Madame de Verrières.

Monsieur Dutrécy, vous avez reconquis mon estime.