Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 04.djvu/18

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De La Porcheraie, à part.

Tiens !… Est-ce qu’il aurait la même idée que moi ? Ce serait drôle. (Haut.) Allons, conduis-moi.

Cyprien.

Par ici, monsieur.

Tous deux entrent à gauche.


Scène III

Aubin, puis Dutrécy ; puis Cyprien
Aubin, entrant.

Eh bien, il doit être content ! je l’ai frotté… Il me disait toujours : "Plus fort ! plus fort ! " J’avais peur de faire du dégât !

Dutrécy, entrant, le visage épanoui.

Ah ! je me sens bien, je me sens léger… les muscles sont souples, la peau fait ses fonctions. (Apercevant Aubin.) Ah ! te voilà… Approche, mon garçon !

Aubin, approchant.

Monsieur…

Dutrécy.

Mon ami, je suis content de toi… Tu ne frottes pas mal… Tu n’as pas encore les mouvements très réguliers… mais ça viendra ! Dis-moi… étais-je bien rouge… dans le dos ?

Aubin, pudiquement.

Ah ! monsieur… je n’ai pas regardé…

Dutrécy.

Une autre fois, tu me feras le plaisir de regarder… c’est