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Scène XV
Sabouleux ; puis Goberval ; puis Pépinois
Sabouleux, seul.
Sont-ils embêtants avec leur robe ! Je n’ai, ici, en velours, qu’un vieux fauteuil… Je ne peux pourtant pas lui mettre le fauteuil ! Que le diable emporte les Claquepont !… J’aime bien mieux les parents de Toto, mon autre nourrisson ; ils me laissent tranquille, au moins, ceux-là… Voyons… si je pouvais ôter ma culotte, et en faire une robe…
Il est à droite et fait le mouvement de relever sa robe.
Goberval, entrant par le fond et s’adressant à gauche.
Madame Sabouleux, s’il vous plaît ?
Sabouleux.
Oh ! (Il baisse vivement le bas de sa robe.) Vélà ! vélà !
Il passe à gauche.
Goberval, essuyant ses lunettes et s’adressant à droite.
Est-ce à madame Sabouleux, nourrice, que j’ai l’honneur de présenter mes hommages… les plus empressés ?
Sabouleux, à part.
V’là un vieux poli avec le sexe. (Haut.) C’est moi-même, monsieur.
Goberval, se retournant du côté gauche.
Sommes-nous seuls ?
Sabouleux.
Entièrement.