Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 04.djvu/45

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Fromental.

Enfin, nous aurons à acheter la corbeille, le trousseau…

Madame de Verrières.

Cela me regarde…

Dutrécy.

Parfait !… c’est parfait !… Au surplus, madame, si vous avez besoin de moi… je ne connais rien à tout cela… mais je me mets à votre disposition…

De La Porcheraie, entrant par le fond.

Ouf !… j’arrive de Passy !…

Fromental.

Monsieur de La Porcheraie…

De La Porcheraie, entrant.

Monsieur… madame… C’est une bonne fortune pour moi de vous rencontrer !… (Bas à Dutrécy.) Renvoyez-les… j’ai à vous parler de notre affaire…

Dutrécy, à Fromental.

Allons !… voilà qui est convenu… nous nous sommes distribué le travail…

Fromental, saluant.

Mon cher condisciple… à trois heures !

Dutrécy.

À trois heures… Quant à ce qui me concerne… je serais prêt… (Saluant madame de Verrières.) Madame…

Il les accompagne jusqu’à la porte du fond. Fromental et madame de Verrières sortent.