Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 08.djvu/207

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Alidor, se mettant à genoux.

À ses genoux !… Bien, m’y voilà…
Et puis après ?…

Rosa

On reste là !…
<poem>
Alidor, soupirant
Heu ! heu !

Rosa, riant Ha ! ha ! </poem> Ensemble

Alidor, soupirant

Heu !… heu !… heu !… heu !…

Rosa, riant

Ha ! ha ! ha ! ha !

Alidor.

Comme ça, quand on est aux genoux d’une femme… on est aimé ?… tout est fini ?

Rosa.

Oh ! non ! pour plaire… il faut autre chose.

Alidor.

Encore ?…

Rosa.

D’abord, on ne se met pas une corde autour du cou… on se fait un joli noeud…

Alidor.

C’est le père Mouillebec qui m’a fait celui-là…

Rosa.

Ensuite, on porte des petits souliers vernis…