Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 08.djvu/337

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Criqueville.

Comment ?

Bartavelle.

Ca vous mène… ça vous ramène… et ça ne casse jamais rien !

Il va prendre un verre.

Tous.

Ah ! charmant !…

Criqueville descend la scène.

Bartavelle.

Je vais m’absenter pour quelques jours, je cherche un ami pour les promener.

Criqueville.

Tiens !

Bartavelle.

Criqueville ! je ne vous les propose pas…

Criqueville.

Pourquoi ?

Bartavelle.

Vous avez les vôtres…

Criqueville.

C’est-à-dire… (À part.) Une voiture… moi qui n’ai pas de domicile !… je coucherais dedans !

Bartavelle, qui a reporté sur la table son petit verre.

Je ne pars que dans une heure… si nous allions voir vos écuries !

Criqueville.

Non !… pas aujourd’hui… j’ai les maçons !… Et puis vous allez bien rire… dans ce moment, je suis à pied.

Il lui prend le bras.