Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 10.djvu/343

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LÉOPARDIN, riant.

Oh !!!

FARIBOL.

C’est trop fort !… j’en appelle à la flûte… Parle, Léopardin…

Il le fait passer au milieu.
LÉOPARDIN.

Moi ?… dame !… pour rendre hommage à la vérité… je n’en sais rien !…

Il remonte.
FARIBOL.

C’est une conspiration !… (Prenant la main d’Alexandra.) Suivez-moi, madame !…

ALEXANDRA, se dégageant et se réfugiant au milieu des clercs.

N’approchez pas ! je me mets sous la protection du notariat français !

LES QUATRE CLERCS, rugissant.

Cristi !… à la porte !… à la porte !…

TOUS.

À la porte ! à la porte !


CHŒUR.
AIR : C’est épouvantable !

À la porte !… à la porte !
Ah ! c’est un furieux !
Eh ! vite qu’on l’emporte
C’est un fou dangereux !


Les quatre clercs enlèvent Faribol qui se débat, et le transportent dehors, pendant que Léopardin, sur son estrade, joue de la flûte avec acharnement.