Cette page n’a pas encore été corrigée
Martin, à part.
Oui, oui ! de quitter ma femme !
Agénor.
Aussi, ma dernière pensée a été pour toi.
Martin.
Merci.
Agénor.
Croyant partir, j’ai fait mon testament… J’ai vingt-deux mille cinq cents francs de rente : je t’ai tout laissé, mon ami !
Martin.
À moi ?… Je ne veux pas ! je ne puis accepter !
Agénor.
Pourquoi ? Je n’ai plus de parents.
Martin.
Je refuse… Déchire ce testament.
Agénor.
Je viens de l’envoyer à mon notaire… Il est à la poste.
Martin.
Non ! c’est impossible ! Révoque-le… (S’approchant de la table.) Voilà du papier… des plumes. (Il s’approche de la tasse et, la trouvant vide, à part.) Ah ! il a bu ! il a bu ! (Se trouvant mal et tombant sur un fauteuil.) Ah ! mon Dieu ! ah ! mon Dieu !
Agénor, courant à lui.
Eh bien, qu’est-ce que tu as ? Martin ! mon pauvre Martin !
Martin, suffoqué.
Je… je… je ne peux parler !