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TABLE DES POÉSIES DE LA FARE

PAGES

Madrigal (Inédit) : Lors que livrés tous deux à noire ardeur extrême 245

Ode. La vieillesse d’un philosophe épicurien (1703) : Nectar, qu’on avale à longs traits 234

La Sagesse commode. Stances. Non, non, je ne viens point sur les bords du Permesse 228

Réflexions d’un Philosophe sur une belle campagne. Ode : Plus on observe ces Be traites 232

Sur la Paresse. A l’Abbé de Ghaulieu. Stances : Pour avoir secoué le joug de quelques vices 224

A l’Amour. Ode : Puissant et premier génie 217

Chanson à boire (Inédit) : QuWmour et Bacchus 247

Ode. A l’honneur de la Religion (Inédit) : Quel spectacle nouveau tient mon âme enchantée 241

Ode morale (Inédit) : Souvenir des plaisirs de mes jeunes années. 230

Madrigal (Inédit) : Un nouveau feu vient d’allumer mes sens.. 246

A Monsieur de Vendôme (Inédit) : Vendôme, j’avois crû que Véclat de ta vie, 210

Ode : Venez échauffer ma veine 22J

Madrigal (Inédit) : Vos lèvres qu’Amour a formées 245

Etrennes (Inédit) : Vous avez joint à toutes les beautés… 245