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dangereuses. 257

nos malheurs, l’est encore davantage pour nous en consoler.[1]


Fin de la quatrieme & derniere Partie.
  1. Des raisons particulières et des considérations que nous nous ferons toujours un devoir de respecter, nous forcent de nous arrêter ici.

    Nous ne pouvons, dans ce moment, ni donner au Lecteur la suite des aventures de Mlle de Volanges, ni lui faire connoître les sinistres événemens qui ont comblé les malheurs ou achevé la punition de Mde de Merteuil.

    Peut-être quelque jour nous sera-t-il permis de compléter cet Ouvrage ; mais nous ne pouvons prendre aucun engagement à ce sujet : & quand nous le pourrions, nous croirions encore devoir consulter le goût du Public, qui n’a pas les mêmes raisons que nous de s’intéresser à cette lecture.


    (Note de l’Éditeur.)