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tirés du poème d’Alfred, musique de G. Lambert. (Notes de l’édition d’Alfred précédemment décrite, p. 139) [1].


1816


A — Anniversaire du 21 janvier, ou la Fête des Martyrs ; Homère mendiant ; Le pauvre nègre ; La Loi de nature, huitain ; La Chute des feuilles ; Le souvenir (Almanach des Dames).

Le Choix de Diane (Etrennes lyriques).

Palmire conquise, poème épique… par M. Dorion, article de critique (signé : Millevoye) (Journ. général de France, 15 août 1816).


Éditions posthumes.


1820


L’Amour maternel

Cette édition manque à la B. N. Je la trouve mentionnée dans l’ouvrage de J. Grand-Carteret, les Almanachs français… etc., sous le n° 1876. « On la vendait comme étrenne, avec un calendrier ». C’est une reproduction de l’édition parue en 1808 chez Lefuel et Delaunay. Le catalogue de vente de la bibliothèque de M. de Powis (Bruxelles, 1823, in-8o), qui l’indique également sous son numéro 302, ajoute que le volume était orné de « sept jolies gravures. »

  1. Dans le Souvenir des Ménestrels (1815) : La Fiancée, dédiée à Boïel-dieu (sic), musique de C. Lafille, avec une illustration. Le Chant nocturne d’Alfred (musique de G. Lambert) figure dans le Souvenir des Ménestrels pour l’année 1816.

    Voici encore deux mélodies composées du vivant de Millevoye mais dont je n’ai pu retrouver la date :

    L’Amour vrai, romance dédiée à mademoiselle Clary Billecocq. Paroles de M. Millevoye. Musique de G. Lambert.

    A Paris, chez A. Le Duc, Editeur et marchand de musique, rue de Richelieu, n° 78.

    Heure du soir, romance à deux voix, de M. Millevoie, mise en musique et dédiée à madame Saint-Edme, par Louis Balochi.

    A Paris, à la lithographie commerciale de E.-G.-L. Guyot, rue du Mouton, n° 5.