Page:Laforgue - Œuvres complètes, t2, 1917.djvu/159

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
161
DES FLEURS DE BONNE VOLONTÉ


Elle écoute
Par les routes
Si le cor
D’un Mondor
Ne s’exhale
Pas encor !
— Oh ! raffale-
Moi le corps

Des salives
Corrosives
Dont mes flancs
Vont bêlant !

— Ô vous Bon qui passez
Donnez-moi des nouvelles
De ma Belle
Mad’moiselle
Aissé.

Car ses épaules
Sont ma console,
Mon Acropole !