Page:Lamarck - Discours (1806).djvu/51

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Les végétaux sont des corps organisés vivans, ne digérant point, jamais irritables dans leurs parties, et ne se mouvant ni par volonté ni par irritabilité excitée.


Les mouvemens qu’on observe dans les végétaux ou dans certaines des leurs parties, sont tantôt des effets hygrométriques ou pyrométriques, et tantôt proviennent de détentes élastiques qui ne s’effectuent qu’une fois, ou de gonflemens et d’affaissemens de parties, par des cumulations locales et des dissipations plus ou moins promptes des fluides invisibles.



FIN DU DISCOURS ET DES GÉNÉRALITÉS.